Dans l’aveu de 1681 (celui du sieur Minet, procureur de la marquise de Rieux) est évoqué une maison : celle des Kerboullard vis à vis la grande passée du cimetière du côté du nord et un vieil écusson en relief semé de besans, dans lequel était un autre écusson de fer penché avec cinq besans en sautoir que “les officiers et autres personnes présentes avaient dit être l’étalon et la maille des filets de pêche dans toute l’étendue de la seigneurie de Rieux. La galerie de cette maison était le siège et le lieu dans lequel, de tout temps a immémorial, les juges et officiers des eaux, bois et forêts dans ladite seigneurie avaient coutume de tenir leurs assises et exercer ladite juridiction des eaux, bois et forêts. Cette galerie devait être celle la la maison (numérotée 508 sur le cadastre de 1824).
le sieur Minet*, au cours d’un procès-verbal de prise de possession, constate et fait remarquer qu’il existe encore un poteau de bois aux armes de Rieux, à l’endroit où les seigneurs de Rieux faisaient courir la Quintaine, le jour de Saint-Léon, pour les mariés de l’année. Cela laisse supposer que La prairie de marais nommée “la Quintaine“ est l’endroit des prés de marais où se déroulait la course. La “joute“ a-t-elle été aussi “nautique“ ? Pas de certitude, mais cela reste une hypothèse.
Tout cela a disparu. Mais il en est resté quelques traces rémanentes à travers la toponymie de certaines parcelles du marais, la bénédiction des barques de pêcheurs et la procession du saint patron de la paroisse de Glénac à la fête de Saint-Léon au début du mois de juillet.
*Nota : M. Jean-Baptiste Minet de la Villapaye, (marié à Pélagie Julie marie Damar de Boisgilbert née le 20/02/1736 à Taden-22), avocat au Parlement de Rennes. Ami et conseiller intime du comte de Rieux, Jean-Gustave de Rieux-Asserac (baron de la Hunaudais) marié à Anne Hélène d'Aiguillon. Par ailleurs, il était régisseur général de la baronnie de la Hunaudais. Il avait un fils Louis Armand Minet qui était licencié en droit et cumulait les charges de prieur de Saint-Esprit des Bois (prieuré situé dans le voisinage la forêt de la Hunaudaye) et de recteur de Plédéliac. Les registres BMS de Plédéliac et de Saint-Esprit des Bois portent sa signature de 1757 jusqu'à janvier 1791 (soit 34 années de ministère).Il bénéficiait également des avantages d'une fondation pieuse du connétable, “la chapellenie de du Guesclin“ dans l'église Saint-Sauveur de Dinan. Il jouissait également des privilèges réservés à l'une des chapelles de la cathédrale de Rennes.
Catherine de Rosmadec (marié à Guy de Rieux, comte de Châteauneuf) hérite de la terre de la Hunaudais et la porte, avec tous ses droits dans celle de Rieux-Asserac, par le mariage de Jeanne_Pélagie de Rieux (sa fille) avec Jean Emmanuel de Rieux marquis d'Asserac, comte de Largouët, seigneur de l'Isle d'Yeu, gouverneur de Guérande.Catherine de Rosmadec est la grand-mère maternelle de Jean-Gustave de Rieux
Jean-Baptiste Minet de la Villepaye (né à Bue dans le Cher-18) a épousé le 10/11/1756 à Saint-Sauveur de Dinan, Pélagie Jeanne Marie Damar de Boisgilbert (née le 20/02/1736 à Taden-22)
(Aux frontières de Penthièvre. Ruines, souvenirs & légendes du pays du Val-André par Paul de Chalus, ancien magistrat - librairie historique des provinces 1895)
La maison du sieur et dame Kerboullard en 1671
Selon le procès-verbal de 1671 du sieur Minet (procureur de la marquise de Rieux), ils étaient propriétaires d'une maison située dans le bas du vieux bourg de Glénac et juste avant d’arriver à l’ancienne église. Les parcelles sont numérotées de 508 à 511 (sur le cadastre de 1824) La 508 correspond à la maison du sieur et dame de Kerboullard.
Ascendance, liens, filiations Kerboullard
Il s’agit du couple Marc de Kerboulard (né le 12/11/1630 à St-Nolff) marié le 23/11/1655 à St Vincent-sur-Oust à Bertrande Houeix (née le 18/09/1636 à St Vincent-sur-Oust et décédée le 26/05/1687 à St-Nolff). Bertrande Houeix est dite “dame de la Peschardays“.
Rien n’indique dans les informations succinctes du procès-verbal, qu’elle et son mari habitaient la maison du vieux bourg de Glénac.
Les dates sont en cohérence avec celle de la visite du sieur Minet en 1671. Marc de Kerboulard avait alors 41 ans et Bertrande Houeix 35 ans. Ils étaient mariés depuis 16 années lors de ce procès-verbal rédigé par le sieur Minet pour la marquise de Rieux.
Bertrande Houeix est la fille de Yves Houeix, seigneur de la Peschardays (marié le 7/02/1634 à St Vincent-sur-Oust à Jeanne Aubin fille de Louis Aubin et de Françoise Bernard, sieur et dame de Kerscomar).
Bertrande Houeix, mineure à son mariage en 1655, est décrétée de justice par Yves Després, greffier du marquisat de Sourdéac ainsi que notaire et procureur des juridictions de Rieux et Sourdéac.
La marquise de Rieux
À l’évidence, aucune certitude quand à mettre un nom sur cette personne. Deux branches Rieux peuvent être concernées : la branche Asserac et la branche Sourdéac. Sachant que le procès-verbal est rédigé en 1671, il pourrait s’agir :
• pour la branche Asserac de Jeanne Pélagie de Rieux-Châteauneuf marquise d’Asserac (1632- 1693) marié à Jean-Emmanuel de Rieux-Asserac
( - 1657)
ou bien de Anne Hélène d’Aiguillon marquise d’Asserac mariée à Jean-Gustave de Rieux- Asserac, marquis d’Asserac (1643-1713).
• pour la branche Sourdéac de Hélène de Clerc (1620-1703) mariée le 10/01/1641 à Alexandre
de Rieux-Sourdéac, marquis de Sourdéac et d’Ouessant (1620-1695).
Il n’existe qu’un seul marquis de Rieux : Louis Auguste de Rieux (1691- 1767) fils d’Hélène d’Aiguillon. Par facilité, et pour simplifier, on peut penser que la marquise de Rieux pourrait être Anne Hélène d'Aiguillon.
La maison Kerboulard
pourrait être la n°508
il existait lors un vieux pilier de bois à la maison des sieur et dame Kerboullard, vis à vis la grande passée du cimetière du côté du nord et un vieil écusson en relief semé de besans, dans lequel était un autre écusson de fer penché avec cinq besans en sautoir que “les officiers et autres personnes présentes avaient dit être l’étalon et la maille des filets de pêche dans toute l’étendue de la seigneurie de Rieux“ ; et que la galerie de ladite maison était le siège et le lieu dans lequel, de tout temps a immémorial, les juges et
officiers des eaux, bois et forêts dans ladite seigneurie avaient coutume de tenir
leurs assises et exercer ladite juridiction des eaux, bois et forêts.
En 1824, cette maison appartenait à Pierre Orève, qui possédait également la maison n° 593
La maison n°589
leurs assises et exercer ladite juridiction des eaux, bois et forêts.
En 1824, cette maison appartenait à Pierre Orève, qui possédait également la maison n° 593
signatures de Marc de Kerboullard et Bertranne Houeix |
signature de Yves Houeix, père de bertranne |
signatures de Marc de Kerboullard et Bertranne Houeix |
Le vieux bourg de Glénac les bâtiments de couleur orange ont été démolis et n'existent plus |
Carte postale éditée dans les années 1930 La maison de gauche dont on voit le pignon qui n'a pas encore de fenêtre était habitée par la famille de Pierre Thomas et Laurence Marie Boudard.
Cette maison (celle située la plus à droite avec l'échelle appuyée sur le mur de façade) apparaît sous le n°582 sur le cadastre de 1824 et appartenait à François Rialland (1759-1825), maréchal demeurant à la Guché, marié en 1793 à Françoise Boudard.
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photo prise dans les années 1955-1960 par charles Richard dont le père Jean-marie est né à Glénac le 6 janvier 1859, et dont le grand-père Joseph était journalier, puis laboureur demeurant à la métairie de la Garenne, puis agriculteur demeurant à Saint-Don en 1853. le pignon de la maison de la famille Thomas est percé par une fenêtre. Une des deux maisons situées plus haut, a perdu sa toiture. Les deux maisons situées plus bas étaient occupées par les Macé, Héligon, et plus récemment par la famille de Alphonse Labare et Marie Cheval.
Cette maison (celle dont on aperçoit le pignon blanc) apparaît sous le n°583 sur le cadastre de 1824. Elle appartenait en 1824 à François Rialland (1759-1825), maréchal demeurant à la Guché, marié en 1793 à Françoise Boudard. Elle a été transmise et recueillie par succession à :
• Léon Rialland (fils de François)
• Anne-Marie Rialland (fille de Léon mariée à Louis-Julien Héligon)
• Anne-Marie Héligon (fille de Louis-Julien mariée à Mathurin Boudard)
• Laurence Marie Boudard (fille de Mathurin)
Cette dernière mariée à Pierre Thomas l’a transmise à sa fille aînée Marie-Pierre Thomas décédée en 2010.La maison est occupée actuellement par sa fille Chantal Guégan.
Cet endroit s’appelait “le Paradis“
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sur la clef du linteau apparaît une inscription, mais difficile à déchiffrer. Cette porte était l'entrée de l'écurie de Jean Cheval dit "le buffou“ |
Devant la maison contigüe à celle de la famille Thomas (n° 583 du cadastre de 1824) Pierre Thomas, Marie-Pierre Thomas, Laurence-Marie Boudard. On distingue bien les deux portes dont une permettait l'accès au 1er étage. Cette maison n'existe plus |
photo prise en juillet 2017 les deux maisons de la famille Labare-Cheval (vues en remontant du cimetière et du marais) ont été rachetées par Jean-Pierre et Armelle Chérel au début des années 2000 |
les deux mêmes maisons vues en descendant vers le cimetière et le marais. La plus éloignée (n°589) était le cabaret de Pierre Macé. La plus rapprochée (n°588) était le débit de tabac de Pierre Héligon. |
le jour de la communion de Auguste Cheval (né en 1909) devant la maison de Joseph Cheval et Anne-Marie Royer. • joseph Cheval né en 1906 (1er lit) • Marie Cheval née en 1903 (1er lit) • Auguste Cheval né en 1909 (2eme lit) • Henri Cheval né vers 1911 (2eme lit)
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devant la même maison en 2017 Une partie du linteau en bois déjà entaillé en 1920 a été préservé lors de la restauration de cette maison réalisée entre 2000 et 2017 par M. et Mme Chérel |
Cette maison apparaît sur le cadastre de 1824 sous le n°589. Elle appartenait en 1824 à Pierre Macé, cabaretier au bourg, né vers 1775 et mort avant 1851. Il se marie le 25 novembre 1801 à Marie Cavalon, née à Cournon.
Puis appartient à son fils Louis-Julien Macé (1806 - ) aubergiste,
puis à Louis Macé (1836-1869),
puis à sa fille Mathurine Macé (1866-) mariée à Joseph Cheval.
Puis à Marie Cheval (1903-) épouse de Alphonse Labarre
puis au cinq héritiers ayant-droits du 1er et 2e lit de Joseph Cheval. (1867- ).
Ce même Pierre Macé (né vers 1775) avait un frère : Louis, né en1782 et qui était égale- ment cabaretier, marié à marie Le Gouere (née vers 1794 et elle-même fille de cabare- tier. Son père Joseph Le Gouere (1727-1777) était laboureur, cabaretier et débitant patenté.
Pendant la rénovation d’une cheminée, Jean-Pierre Chérel à mis à jour le foyer de cette cheminée qui était constitué par une dalle funéraire en shiste et sur laquelle il a pu lire une inscription avec cette mention “capitaine de vaisseau“. N’ayant pas photographié cette dalle et n’ayant pas non plus souvenir du nom indiqué, il est difficile de trouver une hypothèse quand à l’identité du “capitaine“..
La proximité du cimetière tout proche laisserait penser que cette dalle en provenait.
Un capitaine de frégate : Augustin de la Grandière (1770-1845) possédait quelques terres à Glénac. Sur la matrice cadastrale (section E de Branféré), il s’agit des parcelles :
1407 la friche de Tréhat (lande), 1410 le champ Poirier (lande), 1411 le champ Poirier (lande), 1413 le champ Poirier (terre) 6 arpents, 17 perches (86 francs 40 c.), 1414 le champ Poirier (lande), 1515 la grée de Trehat (lande) 2 arpents, 1516 le gravier (lande) 1 arpent, 1517 le gravier (terre) 2 arpents 1518 Port de Roche de bas (maison), 1518 Port de Roche de bas (sol et déport), 1519 le courtil de devant 1520 la pâture (pâture), 1379 la friche de Tréhat (à jacquette de la Grandière)
La vente du tabac a été pendant longtemps réservée aux apothicaires. Le premier débit de tabac connu en France se nommait la civette et remonterait à 1716.
Les bureaux de tabac trouvent leur origine dans le monopole d’État sur le tabac, un monopole qui remonte à l’époque de Louis XIV. C’est par la déclaration royale du 27 septembre 1674 que celui-ci xa la vente et la distribution du tabac comme un monopole, tandis que la culture et la manufacture des cigarettes restent libres. Par la suite, le monopole est brisé puis rétabli plusieurs fois.
En 1804, la Régie des droits réunis est créée et des licences annuelles sont attribuées aux fabricants et aux débitants de tabac. L’étau se resserre ensuite sur la culture du tabac, pour aboutir à un véritable monopole sous le 1er juillet 1811, sous Napoléon 1er. En 1815, onze manufactures traitent 9 000 tonnes de tabac par jour. À noter que l’État met aussi en place un monopole sur les allumettes le 2 août 1872.
Le pouvoir politique dispose dès le Second Empire de nombreux bureaux de tabac (17 000 en 1816) qui vendent également les timbres scaux. L’administration désigne les titulaires des bureaux et ces derniers se rétri- buent sur des majorations de prix à la vente encadrée par l’État. Pendant plusieurs décen- nies, les titulaires désignés sont souvent des veuves ou des orphelins de fonctionnaires ou de militaires. Les candidats à l’exploitation des bureaux sont très nombreux, on en dénombra en effet 39 980 en 1873.
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Puis appartient à son fils Louis-Julien Macé (1806 - ) aubergiste,
puis à Louis Macé (1836-1869),
puis à sa fille Mathurine Macé (1866-) mariée à Joseph Cheval.
Puis à Marie Cheval (1903-) épouse de Alphonse Labarre
puis au cinq héritiers ayant-droits du 1er et 2e lit de Joseph Cheval. (1867- ).
Ce même Pierre Macé (né vers 1775) avait un frère : Louis, né en1782 et qui était égale- ment cabaretier, marié à marie Le Gouere (née vers 1794 et elle-même fille de cabare- tier. Son père Joseph Le Gouere (1727-1777) était laboureur, cabaretier et débitant patenté.
Ce même Joseph Le Gouere avait une sœur : Marie Le Gouere (née en 1764) qui était aussi cabaretière, mariée une première fois en 1789 à Pierre Michel, boulanger au bourg, et une seconde fois en 1799 à Pierre Héligon (1772-1840) laboureur au bourg.
l’âtre du foyer d’une cheminée de cette maison, était une dalle funéraire.
l’âtre du foyer d’une cheminée de cette maison, était une dalle funéraire.
Pendant la rénovation d’une cheminée, Jean-Pierre Chérel à mis à jour le foyer de cette cheminée qui était constitué par une dalle funéraire en shiste et sur laquelle il a pu lire une inscription avec cette mention “capitaine de vaisseau“. N’ayant pas photographié cette dalle et n’ayant pas non plus souvenir du nom indiqué, il est difficile de trouver une hypothèse quand à l’identité du “capitaine“..
La proximité du cimetière tout proche laisserait penser que cette dalle en provenait.
Un capitaine de frégate : Augustin de la Grandière (1770-1845) possédait quelques terres à Glénac. Sur la matrice cadastrale (section E de Branféré), il s’agit des parcelles :
1407 la friche de Tréhat (lande), 1410 le champ Poirier (lande), 1411 le champ Poirier (lande), 1413 le champ Poirier (terre) 6 arpents, 17 perches (86 francs 40 c.), 1414 le champ Poirier (lande), 1515 la grée de Trehat (lande) 2 arpents, 1516 le gravier (lande) 1 arpent, 1517 le gravier (terre) 2 arpents 1518 Port de Roche de bas (maison), 1518 Port de Roche de bas (sol et déport), 1519 le courtil de devant 1520 la pâture (pâture), 1379 la friche de Tréhat (à jacquette de la Grandière)
Sur les marches de l’escalier de la maison de l’Auditoire qui faisait office de mairie et d’école : Marie Cheval, Raymond Labarre (son fils) et Auguste Cheval (1/2 frère de Marie) |
La maison n°588
La maison la plus rapprochée apparaît sue le cadastre sous le n°588. Elle appartenait en 1824 à Pierre Héligon (1722-1840), marié en 1799 à Marie Le Gouere, cabaretière, fille de joseph Le Gouere (1727-1777). Puis, à son fils Pierre Héligon (1800-), marchand et débitant de tabac, marié en 1827 à Bains-sur-Oust à Louise Tertre (1802-).La vente du tabac a été pendant longtemps réservée aux apothicaires. Le premier débit de tabac connu en France se nommait la civette et remonterait à 1716.
Les bureaux de tabac trouvent leur origine dans le monopole d’État sur le tabac, un monopole qui remonte à l’époque de Louis XIV. C’est par la déclaration royale du 27 septembre 1674 que celui-ci xa la vente et la distribution du tabac comme un monopole, tandis que la culture et la manufacture des cigarettes restent libres. Par la suite, le monopole est brisé puis rétabli plusieurs fois.
En 1804, la Régie des droits réunis est créée et des licences annuelles sont attribuées aux fabricants et aux débitants de tabac. L’étau se resserre ensuite sur la culture du tabac, pour aboutir à un véritable monopole sous le 1er juillet 1811, sous Napoléon 1er. En 1815, onze manufactures traitent 9 000 tonnes de tabac par jour. À noter que l’État met aussi en place un monopole sur les allumettes le 2 août 1872.
Le pouvoir politique dispose dès le Second Empire de nombreux bureaux de tabac (17 000 en 1816) qui vendent également les timbres scaux. L’administration désigne les titulaires des bureaux et ces derniers se rétri- buent sur des majorations de prix à la vente encadrée par l’État. Pendant plusieurs décen- nies, les titulaires désignés sont souvent des veuves ou des orphelins de fonctionnaires ou de militaires. Les candidats à l’exploitation des bureaux sont très nombreux, on en dénombra en effet 39 980 en 1873.
procession le jour de la fête de Saint-Léon, patron de la paroisse de Glénac. Les paroissiens remontent la rue du cimetière et se dirigent vers l'église Saint-Michel. Le prêtre en surplis est l'abbé Crusson. On peut reconnaître sur cette photo : Reine Robert, Suzanne Jagut, Jeanne Boudard, marie Badier, Eugénie Busson, Marie Debray |
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