Cependant, différentes recherches sur cette "Henriette Le Prevost" ont permis d'établir les liens de cette famille établie à Rennes.
La bénédiction de la chapelle du Haut-Sourdeac en juillet 1751, l'a été par Pierre Le Prevost (20/05/1698 - 26/10/1774), chanoine du chapitre de la cathédrale de Rennes.
Un ouvrage édité au PUR : “Chanoines de Bretagne“ a permis de compléter quelques informations sur ce chanoine ainsi que sur son neveu Simon Le prevost, lui-même devenu chanoine à la suite de la résignation par son oncle, à son profit.
Différentes recherches sur les BMS de la paroisse St-Pierre en St-Georges de Rennes, de Notre Dame du Mené à Vannes pour la branche du Perrier, ont également été faites et permettent d'établir un tableau de filiation.
Pierre Le Prevost est le frère aîné des onze frères et sœurs de Henriette née, elle,le 7 novembre 1710. C'est au titre de prêtre et frère qu'il a été amené à bénir la chapelle du Haut-Sourdeac en juillet 1751.
Dans Chanoines de Bretagne, est écrit ceci : “Les mois de juillet et août sont statutairement la période des vacances capitulaires. À l’image des parlementaires, les chanoines se montrent alors moins assidus et partent quelque temps « à la campagne », c’est-à- dire, semble-t-il, se ressourcer en famille ou se refaire une santé dans une station thermale. Pour ces hommes souvent nés non loin de la cité épiscopale, ces voyages sont souvent assez courts. Hors de cette époque privilégiée, on ne peut exclure, en dépit de sources peu loquaces sur ce sujet, les déplacements liés à la fonction, à des affaires personnelles ou à des motifs médicaux.“
On retrouve dans les deux branches et leurs alliances des personnages dont l'activité est liée la plupart du temps au Parlement de Bretagne : Conseiller du roi, contrôleur des décimes de l'evesché de Rennes, procureur en la Cour du Parlement, avocat en la Cour, référendaire en la chancellerie de bretagne, greffier au tribunal de commerce de Nantes.
Qui a construit le château du Haut-Sourdeac
Cette recherche sur les familles Le Prevost et du Perrier, ascendants de Henriette Le prevost, n'ont cependant pas encore permis de déboucher sur un indice concernant Le Haut-Sourdeac.
Cela a permis, seulement, de donner un éclairage nouveau sur ce couple Marion-Le Prevost.
La construction du Haut-Sourdeac a t'elle été à l'initiative des “Marion“ ou bien des “Le Prevost“ ? Rien ne l'indique pour l'instant.
Olivier Marion a d'abord épousé (mais où ?) Anne-Elisabeth Paignon du Rozé décédée le 18 octobre 1742 à Glénac. Mais là encore, peu d'informations.
La capitation de Vannes pour 1720, nous apprend ceci : “Madame du Rozay Peignon et Mr son fils payent 10 livres et 3 livres pour les domestiques, pour la capitation de 1720“
La capitation de Vannes pour 1740, nous apprend ceci : “Madame du Rozay Paignon paie 11 livres à Redon“
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